Le match a été longtemps un défi Omlin contre le PSG. Au final, le PSG s’impose (5-2) face à Montpellier avec un duo Messi-Neymar qui fonctionne toujours aussi bien. Par contre, l’aspect défensif reste problématique pour les Parisiens.
Montpellier s’est obstiné avec son jeu fait de relances courtes si cher à son entraîneur Olivier Dall’Oglio, mais face à des Parisiens qui n’en demandaient pas tant, c’est le MHSC qui a souvent donné les munitions aux joueurs de Galtier.
Omlin a fait ce qu’il pouvait. Attentif devant Neymar (17e), il repousse même un penalty qui avait été accordé à Mbappé pour une main de Ferri (23e).
Le portier héraultais s’impose ensuite face à Messi à deux reprises (26e et 29e) mais s’incline finalement contre un des siens. Falaye Sacko contre un tir de Mbappé et ouvre la marque pour Paris (39e).
Dans les arrêts de jeu de la première période, le malheureux défenseur montpelliérain dévie le ballon de la main lors d’un duel avec Messi (42e). Neymar ne se trompe pas, lui, en prenant le gardien à contre-pied (43e).
En seconde période, Omlin se manque sur un dégagement. Mbappé récupère et lance Hakimi qui enchaîne avec un centre. Un service contré par Saint-Luce ce qui permet à Neymar de conclure de la tête (51e).
Juste avant l’heure de jeu, Khazri adoucit la note des joueurs d’ODO en récupérant un ballon renvoyé par Donnarumma après une tentative de Wahi (58e).
Un peu plus de dix minutes après, sur un corner de Neymar, Ferri prolonge le ballon pour… Mbappé qui réussit à redonner trois buts d’avance aux Parisiens (69e).
Neymar pense ensuite s’offrir un triplé après un joli numéro avec Messi mais Kimpembe était hors-jeu au départ de l’action (86e). Deux minutes après, le cinquième but arrive finalement grâce à Renato Sanches qui reprend un centre de Nuno Mendes et trouve la lucarne d’Omlin (87e).
En fin de rencontre, le PSG se relâche : Kimpembe ne s’aligne pas et Tchato s’échappe pour aller tromper un Donnarumma pas vraiment non plus au taquet (90+1).
Le PSG s’impose (5-2) dans cette rencontre face à Montpellier qui a été trop fragile avec ce bloc bas qui a trop souvent donné le bâton pour se faire battre. Au PSG, ça joue plutôt bien, ça gagne mais défensivement c’est insuffisant et Galtier devra gérer les égos de son effectif, même dans la victoire.
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