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Cathy Boishardy: « Marcel et les gars du team Wolber avaient le plus petit budget à l’époque mais ils faisaient rêver »

J.A.V.
Dernière mise à jour : 19/03/2021 à 8:03
J.A.V. Publié le 18 mars 2021
21 Min de Lecture
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Il y a des noms qui sont à jamais liés à l’histoire de notre cyclisme tricolore. Ces gens sont devenus « immortels ». On retient souvent le champion à jamais légendaire mais pourtant, derrière ces coureurs, ces équipes, il y a des hommes. Ces « bâtisseurs » d’équipes, ces détecteurs de guerriers, sont peu connus du grand public mais leurs histoires sont toutes  plus belles.  Ceux dont on parle sont des véritables enfants du cyclisme, de cet art qui les a vu naître et qui les a fait grandir. Ceux, qui par la suite on su donner ce plaisir à la génération suivante. Ceux que l’on cite, pourtant rarement, savent conjuguer l’humain, savent écouter et savent transmettre et le tout avec une passion dans le regard qui ne ment jamais. Non, on ne vous parle pas de l’un des techniciens diplômés de hautes écoles (sauf de celle de la vie) et  qui n’ont jamais la souffrance des forçats de la route ou d’élus en quête d’un avenir politique vers d’autres cieux. Non, on vous parle de ceux dont le cyclisme a façonné la gueule,  burinée à jamais. On parle de ceux dont le vélo coule dans les veines, celles qui alimentent un coeur bien plus gros que leurs corps, alors trop petits pour pouvoir contenir cette générosité souvent trop grande… 

marcel

Marcel Boishardy fait parti de ces bâtisseurs, de ceux dont les noms resteront à jamais dans l’histoire et peu peuvent s’en vanter au fil du temps. Ce Breton natif de Rennes, fut un grand coureur amateur, claquant des courses comme le tour de Combrailles  ou encore encore le Tour du Roussillon en 1971. Passé pro en 1973 dans le team De Kova Lejeune, il termina 44ème du tour de France la même année. Mais c’est surtout après sa carrière pro terminée en 1977 que Marcel Boishardy va écrire parmi les plus belles pages du cyclisme Français. De Renault Elf Gitane, en passant par Puch Wolber, Wolber Spidel et le Team Système U puis au Centre Louison Bobet, il a laissé une empreinte indélébile dans le cerveau de nombre d’entre nous et dans le peloton pro comme amateur. Marcel Boishardy a dirigé d’autres  grands champions. La liste est longue, si longue mais on peut citer des gars comme Bernard Hinault, Bernard Thévenet, Marc Gomez, Jean René Bernaudeau, Maurice Le Guilloux, Gerard Kerbrat, Philippe Leleu, Regis Ovion, Jean François Rault et tant d’autres…Allez leur poser la question un jour: Qui était Marcel Boishardy? Tous vous souriront prendront le temps de vous narrer l’histoire incroyable de cet homme oublié par les médias mais non dans le coeur des hommes. Tous se souviennent de ce Grand Monsieur, aussi bien du côté de la Verte Erin avec Stephen Roche que chez les Belges et un certain Patrick Lefevere.

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Marcel était un détecteur de talents incroyable comme le fut Jean De Gribaldy à la même époque, la presse aimait même à les comparer. Tous deux savaient lire l’humain, le pousser à se découvrir lui même. Tous deux étaient généreux et tous deux pouvaient aussi piquer des colères légendaires. Plusieurs champions leurs doivent aussi leurs carrières.Marcel s’est éteint le 23 septembre 2011, sur les routes de Majorque alors qu’il emmenait un groupe de cyclos, trahi par ce coeur si grand alors qu’il roulait encore et encore. Cela  fait 10 ans qu’il nous a laissé un grand vide, une décennie, une éternité….  Mais on parle toujours de lui, de son héritage. Marcel est là car il est devenu cet immortel…On a voulu demander à celle qui a partagé sa vie, sa passion, son amour, ses moments intenses de bonheur comme les pires, sa femme: Cathy Boishardy. Elle a bien voulu nous raconter l’histoire de Marcel, celui qui avait un coeur plus gros que son corps.

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Marcel Boishardy devant Eddy Merckx

Cathy; Comment as tu rencontré Marcel?

« Ouff! J’étais jeune, issue d’une famille de passionnés du vélo. Mon père en faisait, mon frère aussi. C’était dans les années 60. On allait sur les courses le dimanche après midi comme on allait à la messe le matin. C’était ça le cyclisme à l’époque, une religion. Donc, je suis tombée dans la marmite toute petite. Et j’ai connu Marcel, le champion amateur dans ces années là. On se connaissait tous à l’époque, le public et les coureurs. C’était une famille, une communion, je te parle d’une époque qui n’était pas vraiment comme maintenant.

Puis un jour, je marchais dans les rues de Rennes. J’ai alors croisé Marcel, que je connaissais déjà. Il m’a abordé et de fil en aiguille, il m’a invitée au cinéma. Mais à cette époque là, quand un homme faisait la cour à une femme, il y avait toujours un membre de la famille qui nous accompagnait et pas question de se tenir la main devant lui (rires). Donc, pour notre premier rendez-vous, ma mère nous a accompagnés au cinéma. Je suis tombée amoureuse de Marcel, de cet homme et rien n’a changé aujourd’hui même s’il n’est plus là physiquement, il est là, dans mon coeur. »

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Tu as connu les fameuses années 70. Racontes nous cette époque. Comment viviez vous toi et Marcel?

« A cette époque là, les coureurs ne touchaient pas beaucoup de salaire. Ils partaient pour de longues périodes, comme maintenant je suppose. Mais on n’avait pas le téléphone portable, internet et la visio. On attendait le coup de fil du soir avec impatience et encore, quand je te dis le soir c’était avec un peu de chance…

Il pouvait y avoir plus de 60 crits d’après Tour en France

J’ai eu un poste de remplaçante l’éducation nationale avant notre mariage. Et du coup, il y avait un salaire régulier à la maison. Marcel partait sur les courses et moi je m’occupais de la famille et ausi des contrats de critériums d’après tour. Car c’était ces contrats qui faisaient bouillir la marmite à l’époque. Quand il était coureur pro, il pouvait y avoir plus de 60 crits d’après Tour en France. On pouvait se déplacer sur deux courses différentes en une seule journée. Ce n’était pas les contrats pros qui nous donnaient suffisamment pour vivre, le coureur devait s’occuper de ses finances tout seul, il se débrouillait comme il le pouvait.  »

Et durant le Tour, vous alliez le voir ? 

« A l’époque, pas question de voir son mari si il faisait le tour, c’était interdit (rires)… On allait l’encourager sur le bord des routes et, avec un peu de chance, on le voyait à l’arrivée mais pas question d’aller le retrouver à l’hôtel sinon les directeurs sportifs piquaient une colère.  »

Puis Marcel devient manager du team de Cyrille Guimard en 1978, l’équipe Renault Elf Gitane. Parlez nous de cette époque? 

« C’était une grande aventure. Marcel était retraité du peloton. Celui que vous avez nommé l’a appelé pour l’aider à s’occuper de cette équipe d. C’était féérique … du moins au les 2 premières années… Il y avait des jeunes champions, comme Bernard Hinault, qui remportaient le premier tour, Jean René Bernaudeau, Yvon Bertin et par la suite des gars comme Maurice Le Guilloux, Yvon Bertin, André Chalmel..

C’était une famille, oui une vraie famille

Marcel s’occupait des contrats des critériums d’après tour à la place de Roger Piel. Tous ces contrats sont encore chez nous, avec mon fils, les premiers de ces champions. Ils sont conservés religieusement, bien sûr. Là encore, il y avait énormément de critériums d’après tour. Nous les femmes, on allait réserver les hôtels, les restaurants pendant que nos maris faisaient le show. C’était une sacrée ambiance. Les primes gagnées sur ces courses servaient souvent pour nous réunir ensemble à des grandes tablées le soir. La journée, ils se tiraient la bourre entre eux et le soir, tous mangeaient ensemble. C’était une famille, oui une vraie famille.  »

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En 1981, Marcel part dans l’équipe Puch – Wolber Campagnolo à la direction sportive avec Rudi Altig

« Alors, ce n’est pas Marcel qui a quitté Renault Gitane, c’est le manager de l’époque qui l’a viré. 3 mois avant son licenciement, nous étions encore amis. Marcel écrivait le mot bon avec un « C » au début. Marcel ne voyait pas le mal chez les gens, ou du moins il se refusait à le voir. Ca lui a joué des tours dans sa vie mais il était comme ça. Il préférait ne voir que le positif chez l’homme et il croyait en lui. Pour mon Marcel, le mot Amitié n’était pas un vain mot. Tandis que d’autres pensent que l’humain est une serviette jetable que l’on essore et que l’on balance à la poubelle quand ils l’ont bien pressée. Voilà ce qu’il s’est vraiment passé.

Le team Wolber avait le plus petit budget mais elle a été l’une des meilleures au monde

Donc suite à ce licenciement, cette trahison, Marcel trouve un poste chez Puch Wolber Campagnolo. Il était déjà testeur de boyaux pour la marque et ils lui ont proposé de venir les rejoindre dans le team. Puis en 1982, suite à un differend entre les sponsors, le team devient Wolber Spidel et c’est Marcel qui a managé. C’était le plus petit budget des équipes pros et Marcel (pourtant le patron) n’avait que le 12ème salaire au sein de la structure. C’était le plus petit budget à l’époque mais ils faisaient rêver.

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Marc Gomez, Milan San Remo 1982

Dans le team, il y avait des Bretons comme Gerard Kerbrat, Philippe Leleu, Jean François Rault et des gars comme Bernard Thévenet  qui ressemblait beaucoup à Marcel par sa façon de penser, Bernard est une personne classe, généreuse et toujours serviable. Il y avait aussi Dominique Arnaud cet amour, Yves Hézard, Regis Ovion.  Et ces gars là vont faire connaitre le maillot à travers le monde comme Marc Gomez qui gagne à Milan San Remo et  3 étapes sur Tour d’Espagne avec Marc Gomez, Sven-Ake Nilsson et Dominique Arnaud et la victoire de  Philippe Le Leu sur le Tour de France en 1983 et le titre de champion de France de Marc Gomez la même année. C’était ça le team Wolber, une équipe, une âme, c’était le « bébé » de mon Marcel »

Ton corps tu le ressens, tu le connais mieux que les machines, tu sais quand tu es en forme ou pas

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Philippe Leleu victorieux sur la 20ème étape du Tour de France 1983

En 1984, le team devient Système U.

« Oui. Il avait été contacté par Bernard Tapis pour rejoindre le Team La Vie Claire mais Marcel n’aimait pas les nouvelles méthodes scientifiques de leur entraîneur Paul Köchli. Marcel disait souvent « Les watts et toutes ces données, ça ne veut rien dire. Ton corps tu le ressens, tu le connais mieux que les machines, tu sais quand tu es en forme ou pas ». Il a refusé et il a dirigé le team Système U.

Puis le centre Louison Bobet de 87 à 95

« Oui. Ca il avait aimé. Former tous ces jeunes comme Frédéric Guesdon, Benoit Salmon, Bruno Redondo, Manu Hubert, Romuald Frocrain (qui est devenu mon gendre et le papa de mes petits enfants), Chris Jenner et Yann Dejan. Il y a en un paquet qui sont passés avec Marcel. Il y tenait beaucoup à ce centre et il y est resté 9 ans avant que les politiques de notre sport s’en emparent et le fassent disparaître. C’est dommage qu’il n’existe plus pour nos gamins de Bretagne. Ensuite, Marcel est devenu entraîneur de l’équipe nationale de Tunisie durant 2 ans puis de la Syrie par la suite.  »

Quels souvenir gardez vous de toutes ces années?

« Quand j’ai épousé Marcel, j’ai épousé l’homme. J’en avais rien à fiche qu’il soit coureur. Marcel était un homme généreux dans tous les domaines. Il avait cette sensibilité particulière qui lui permettait d’aimer les gens, la vie.

C’était ça le tour de France à l’époque, une famille, de l’amitié, des rencontres, une véritable fête populaire, une communion entre nous tous, tous les français…

Avec lui, oui j’ai vécu de grands moments aussi bien dans notre vie privée que professionnelle. Quand il était l’assistant de Jacques Chancel  pendant vingt ans sur l’émission de « A chacun son tour » , Marcel nous faisait venir avec eux. J’ai rencontré des gens formidables, des passionnés comme Jacques Chancel. Le soir, nous mangions souvent au restaurant avec  tout ce monde qui faisaient la famille du Tour de France. Je me souviens avoir mangé avec Manu Di Bongo qui jouait alors des percussions pendant le repas, de Raymond Devos qui nous racontait des histoires comme seuls lui savaient le faire.  Je garde en mémoire cette anecdote avec le Grand Violoniste Ivry Gitlis. Il jouait à travers le monde tant il était le meilleur. J’adorais l’écouter. J’étais directrice d’école à l’époque. J’avais alors dit à Ivry que j’aurais que les enfants de mon école à Rennes puisse l’écouter mais je n’avais pas osé lui demander car notre école n’avait pas les moyens financiers. Ivry m’a alors dit, très étonné: « Cathy, pourquoi tu ne l’as pas fait? Je serais venu gratuitement, nous sommes amis!  » . Même Michel Drucker qui est un fan de cyclisme nous invitait pour voir les émissions au Studio  Gabriel à Paris. C’était ça le tour de France à l’époque, une famille, de l’amitié, des rencontres, une véritable fête populaire, une communion entre nous tous, tous les français… C’était il y a longtemps, une autre époque. »

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Marcel et son fils Cedrig, soigneur dans plusieurs équipes et désormais avec Natura4Ever Roubaix Lille Métropole

 

Vous allez toujours sur les courses?

« Oui, bien sûr. J’aide aussi au critérium de Dun Le Palestel chaque année, ce sont pus que des bons copains. Et chaque année, je vais voir le peloton notamment sur la Route Adélie. Mais avec le Covid, elle a été annulée la saison dernière. J’adore revoir mes amis comme Daniel Mangeas. Daniel a toujours un mot pour Marcel quand je suis sur la course, c’est un homme qui se souvient de tout et lui aussi a connu ces grandes années qui nous manquent tant en ce moment. Je me souviens de Patrick (Lefevere) qui était très ami avec Marcel. A chaque fois que je le revois, il traverse la route pour venir m’embrasser. C’est ça l’amitié ! Même si l’on ne se donne pas trop de nouvelles, quand on se voit c’est comme si on s’était quitté hier. Quand Marcel nous a quitté, je suis allé au centre funéraire. Ce jour là, il y avait Bernard (Hinault) et toute sa famille. On ne s’était pas vu depuis longtemps mais la famille Hinault était là, présent à nos côtés et c’est ça que je retiens.

L’amitié était sacrée pour Marcel et pour moi. Quand il est parti, le téléphone ne sonnait plus aussi souvent qu’avant. Il y a toujours les bons amis comme Jean et Marie Baraille, Jean Luc Molineris qui sont là. Mais beaucoup ont oublié où j’habitais. »

Est ce que vous retrouvez cette ambiance sur les courses d’aujourd’hui?

« Non, c’est un temps révolu. Enfin, je le retrouve en Belgique et aux Pays Bas. Chez eux, le cyclisme est une famille, une vraie. En France, je ne peux pas expliquer pourquoi mais cet esprit a disparu. Chez nous c’est désormais « chacun pour sa gueule ». Les « stars » françaises ne sortent même plus de leur bus sans l’aval de leurs conseillers en communication pour aller saluer leurs fans. Ils sont devenus des stars dans les journaux nationaux et ils se comportent, pour certains, en tant que tel. C’est devenu un monde froid et sans âme. Mais les vrais champions savent que, sans leur public, ils ne seraient pas ce qu’ils sont. Et en Belgique ou au Pays bas, ils ne l’oublient jamais et surtout pas auprès des plus jeunes même après une course difficile. »

Marcel, quelques mots pour le décrire?

« Généreux, trop peut être. Gentil et certainement trop, honnête, loyal et fidèle. Il était un amoureux de la vie, de ses deux familles. Je dis deux car il y avait nous (moi, notre fils et notre fille), et il y avait celle du cyclisme. Et pour cette dernière, il a consacré sa vie. »

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