Le patron du team Jumbo-Visma, Richard Plugge, qui est aussi le vice président de l’AIGCP (syndicat des équipes pros)a été touché par le Covid-19. Hospitalisé, il a lutté contre la maladie. Tout juste remis, il espère le départ de la saison pro mais avec énormément de précaution, voir de gros sacrifices.
Il s’est confié a Nos
Richard Plugge; « J’ai eu une forte fièvre et ça a continué. J’avais aussi une pneumonie et des douleurs au niveau des voies urinaires
Après environ 6 jours, j’ai été admis. À l’hôpital, il s’est avéré à un certain moment que la quantité d’oxygène dans mon sang était dangereusement basse et on m’a donné de l’oxygène. Et puis vous pensez : oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh »
Richard Plugge se rétabli doucement des semaines plus tard
« Je remarque que j’ai l’air plutôt enroué quand je parle longtemps. Et sur le vélo, je n’atteins plus les 30 kilomètres à l’heure. Avant la maladie, c’était la vitesse avec laquelle je pouvais toujours rentrer chez moi, même si je ne faisais pas de mon mieux ».
Le tour oui mais pas de public et seulement 100 journalistes, le moins de staff possible
Richard Pluddge; « Si nous voulons le retour à la compétition, nous devrons faire des sacrifices. « A Tour without an audience » par exemple. Le moins de staff possible dans les équipes et dans l’organisation. Pas 5 000 journalistes, mais 100. Et les coureurs doivent être testés, autant que possible.
Je pense que nous avons maintenant un calendrier réaliste (… ) La chose la plus importante que je pense est que les gouvernements en particulier ceux de France, d’Italie et d’Espagne, ont pleinement soutenu ces plans. Parce que nous pouvons appeler à faire quelque chose, mais ce sont les gouvernements qui décident ».
Nous sommes tous positifs (au Covid-19)
« Il se peut que le virus s’éteigne demain, mais il peut aussi revenir en force. Et tous les scénarios intermédiaires sont envisageables (…) Nous sommes tous positifs. Alors faisons des tests. Tout le monde doit être tester. Tout ça devrait être possible, pour autant que nous respections strictement les protocoles. «