Le gouvernement Italien a déconfiné son peuple depuis, hier, le 4 mai.Désormais, il s’attaque à la phase 2 de ce plan. Il compte désormais privilégier les transports alternatifs comme le vélo. Pour cet objectif, il compte attribuer une prime allant jusqu’à 500 euros pour l’achat de ce moyen de transport. Dans une interview avec le journal Repubblica, la ministre des transports Paola De Micheli , qui avait dans un premier temps annoncer un bon de 200 euros pour soutenir ce moyen de mobilité alternative , évoque désormais la possibilité d’une prime pouvant atteindre jusqu’à 500 euros Outre les incitations aux municipalités pour la construction de pistes cyclables et de voies préférentielles pour ce genre de transport, dans un climat de forte revalorisation de la mobilité alternative pour assurer une plus grande sécurité dans les ville, évitant ainsi un recours excessif aux transports privés polluants et surchargés, il y aura doncégalement des mesures supplémentaires pour soutenir les particuliers.Paolo De Micheli;
« Pour les vélos, il est prévu un maximum de 500 euros, mais il ne sera pas calculé en fonction des seuils de revenus (…) Il s’agira « d’un remboursement après achat ». Il faudra maintenant attendre que ces mesures soient inscrites dans un décret ou une mesure, attendue assez rapidement vu la nécessité impérieuse, tout en comprenant même si tous les citoyens pourront recevoir au moins partiellement ce bonus ou comment ils seront échelonnés et décideront des seuils de remboursement dans ce qui est pourtant défini comme « un mécanisme déjà expérimenté ».
De plus, l’Italie veut aussi incité la population au partage « des scooters et des vélos, y compris électriques » et de mesures d’aides seront accompagnées dans ce sens.
Les primes d’état pour l’acquisition d’un vélo avaient été testées en Irlande il y une dizaine d’années avec grand succès sur la verte Erin qui a vu son nombre de licenciés explosé par la suite.