Le Requin de Messine, Vincenzo Nibali, est inquiet pour l’avenir de la planète. Sur le plan environnemental, il la juge « Dramatique ». Le monde est égoïste et chacun pense à « sa gueule » selon lui.Pour le Sicilien, un coureur cycliste qui roule tous les jours est apte à donner un jugement sur la situation. Vincenzo Nibali est inquiet, en colère, et le fait savoir au journal Italien « Corriere della Serra »Vincenzo Nibali; « J’ai l’impression d’être un marin qui pédale 35 000 kilomètres par an. Sur le vélo, je vois le monde de plus en plus étouffé par le plastique. Je suis avec les gens qui manifestent pour l’environnement parce que personne d’autre qu’eux ne semblent s’en soucier.Le vélo est un parfait observatoire de la circulation et de la pollution : la situation est dramatique. On trouve du plastique partout. La politique devrait imposer des règles différentes aux producteurs »