« Quand Alberto Bettiol est parti, réagir n’était plus possible. Il y avait encore le Paterberg. La poursuite n’a jamais vraiment démarré. Le plus fort du lot était déjà parti. »
Il restait encore un long chemin avant Audenarde et la guerre d’usure a commencé. Sur le Paterberg, je me suis accroché, mais je ne peux pas décrire la sensation que j’avais dans mes jambes.
Je n’avais plus beaucoup de force dans les jambes.
C’est dommage que la réaction n’a pas vraiment commencé. Tout le monde semblait accepter, à 14 kilomètres de l’arrivée, qu’on roulait alors pour les places d’honneur. J’aurais aimé rouler à fond, mais je n’avais plus beaucoup de force dans les jambes. J’ai entendu que Mathieu van der Poel était tombé. Mais soudainement, il était de retour dans notre groupe. Ce n’est que plus tard que j’ai vu les images. Il a réalisé un beau numéro. En ce qui me concerne, je suis content de mon Tour des Flandres »,