Il est le dernier vainqueur du « Ronde », Philippe Gilbert l’avait emporté après un superbe solo et avec le maillot de champion de Belgique. Cette année, la force collective (#Wolfpack) du team Quick Step Floors impressionne. Mais pourquoi pas de nouveau Philippe Gilbert qui n’a pas encore lever les bras cette saison? Le Belge a réalisé deux place de second (sur le Samyn et le GP E3) pour le moment en attendant le Ronde. Une chose est sûre, le team de Patrick Lefevere possède le plus beau collectif du peloton et des prétendants sérieux à la victoire comme Philippe Gilbert l’a confié lors de conférence de presse de ce Tour des Flandres 2018.Les sensations sur ces dernières classiques Philippe Gilbert
: « Les sensations ne sont pas comme l’année dernière. J’étais bon, oui, mais je ne me sentais pas très fort. J’étais prêt, mais ces courses n’étaient pas vraiment importantes à mes yeux. Elles n’étaient que les derniers entraînements, les dernières préparations.
L’année dernière, j’étais légèrement supérieur, nous parlons de quelques pourcentages, mais à ce niveau, un pour cent peut faire une grande différence; C’est comme ça, je le sais et je sais gérer mon potentiel, je vais le faire. »
Le collectif (#Wolfpack), la force du team Quick Step Floors avec 4 favoris
« Nous avons 4 favoris dans l’équipe et ils ont tous leurs propres ambitions, mais nous courons ensemble et en équipe, et quand les autres équipes voient ça, elles ont juste peur de nous.
Vous pouvez voir que nous sommes tous unis, tout le monde est concentré, tout le monde parle non pour lui mais pour l’équipe. L’important pour ce dimanche est que l’un d’entre nous gagne, mais c’est toujours agréable quand c’est un coéquipier.
Philippe Gilbert et les Quick Step Floors veulent être acteurs du « Ronde »
« Nous prenons toujours la responsabilité, pas comme certaines équipes. Nous acceptons cela même si ce n’est pas logique. Nous faisons notre course, nous essayons de la diriger vers le scénario que nous désirons… »
« Je ne suis pas un coureur qui suce les roues des autres, je n’ai jamais roulé comme ça et ce n’est pas à 35 ans que je vais commencer. Il y a des coureurs qui travaillent comme ça et souvent ils perdent, mais c’est pas ma façon de faire les choses. »
Quels coureurs surveillera t-il plus particulièrement? Sagan ? Van Avermaet?
« Je vais regarder mon capteur de puissance, et c’est tout ce qui m’intéresse. »