À Vern-sur-Seiche, Mickaël Crispin est resté dans l’ombre de l’aérien Antoine Benoist. Néanmoins, après un début de saison difficile, le Breton retrouve ses sensations qui se faisaient discrètes. Les raisons d’un nouvel équilibre, soutenu par la structure de Steve Chainel. Le crossman du Team Chazal-Canyon peut désormais voir grand, et se focaliser sur les prochaines échéances.
Dès les premiers tours, tu t’es accroché à Antoine Benoist, tu te sentais vraiment bien..?
Je l’ai tenu jusqu’à ce que j’ai pu, mais il était vraiment au dessus. Une fois qu’il est parti je n’ai rien pu faire, on a démarré vraiment rapidement et j’ai eu un petit coup de moins bien au mauvais moment.. Depuis le début de saison il répond présent, que ce soit sur les coupes de France ou sur les coupes du Monde.
Tu montes en gamme petit à petit…
Quand je compare maintenant et le début de saison c’est le jour et la nuit. La forme commence à arriver, plus les jours passent et mieux je me sens.
Quelles sont les raisons de ce retour de forme selon toi ?
Je travaille depuis le début de saison en apprentissage, j’alterne entre deux semaines en entreprise et deux semaines en cours. J’ai mis un peu de temps à m’y faire mais là, j’ai trouvé mon équilibre.
Les France se profilent, que vises-tu à Quelneuc ?
Un TOP 10 dans un premier temps, si je me sens vraiment bien pourquoi pas se focaliser sur un TOP 5.