A 23 ans, l’Ecossais Jack Barrett rejoint aujourd’hui le team Hennebont Cyclisme en Bretagne après avoir roulé au sein du team Bikehaus. Issu de la piste comme la plus part des Britanniques, le vice Champion d’Ecosse sur route 2015 est un vrai puncheur qui s’est offert tout de même 6 victoires la saison dernière et une belle 15ème place au classement du Royaume Uni (UK) en fin de saison. Mais le natif de Stirling, haut lieu de l’Ecosse, avait vraiment envie de venir se mesurer avec ses cousins Bretons et le voilà aujourd’hui sur les courses Bretonnes qu’il avait goûté pour la toute première fois sur le Kreiz Breizh l’année dernière. Il rejoint l’Australien Sam Burston et le jeune Britannique Jesse Yates.
Jack Barrett, pourquoi rejoindre Hennebont Cyclisme
Jack Barrett: » Déjà, le club d’Hennebont Cyclisme commence à se faire un petit nomau sein de notre peloton d’ anglo-saxons. Ce team accueille énormément d’anglophones depuis des années et ça sait par chez nous. On sait aussi que Be Celt fait beaucoup pour le cyclisme Irlandais Britannique et Australien depuis quelques temps. On est tous en lien permanent durant la saison et le commentateur cyclisme de la télé nationale Irlandaise TG4 Padraic Quinn (PDG de Velotec Custom Clothes) nous a mis en lien. Donc du coup, comme les courses en France et particulièrement en Bretagne sont d’un très bon niveau, cela nous permet de progresser et si on peut faire des résultats, c’est la cerise sur le gâteau, en tout cas on vient pour ce but. »
La Bretagne, vous y êtes déjà venu , sur le Kreiz Breizh l‘année dernière par exemple.
J.B: « Oui, j’était avec la sélection national d’Ecosse. C’était notre baptême du feu en Bretagne et j’y ai gardé une excellent souvenir. Mais j’y venais déjà souvent quand j’étais gosse. Peut être vais je reconnaître des endroits de mes vacances d’enfance? J’y ai gardé un bon souvenir. »
Avec Sam Burston et Jesse Yates, c’est un atout d’avoir des équipiers qui parle la même langue?
J.B; » Oui, c’est vrai que c’est un plus quand on débarque, et dans les courses on peut se parler. Mais si je viens en France, c’est aussi pour apprendre la langue. Quand tu viens dans un pays, la moindre des choses c’est de les comprendre en premier. »
Vos objectifs avec Hennebont Cyclisme ?
J.B: » Travailler pour le team en premier mais en claquer le plus possible. J’ai faim et j’ai envie de prouver que l’on peut compter sur moi. »