Photos Sean Rowe
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Contrairement à ce qu’indique son nom si Français, Nicholas Kergozou de La Boessière, que l’on surnomme Nick, est un véritable pistard néo-zélandais, pur produit de l’école kiwi.
A 19 ans, le jeune coureur a déjà été médaillé de bronze aux championnats du Monde juniors en poursuite par équipe et raflé 3 médailles aux championnat d’Océanie sur piste le mois derbnier, avec l’or en poursuite par équipes (avec Aaron Gate, Luke Mudgway et Hayden Roulston), de nouveau or sur l’Américaine et en bronze sur l’omnium. Vainqueur du GP International de Dublin, il vient de signer son premier contrat professionnel pour la saison 2016 au sein du team Dynamo Cover, le « kiwi » d’une lointaine origine Bretonne a ciblé les jeux Olympiques comme objectif. Mais avant, il veut surtout avec la bande des « men in black », de gros moteurs comme Shane Archbold (Timaru), Aaron Gate (Auckland), Cameron Karwowski (Invercargill), Luke Mudgway (Palmerston North) faire honneur à son pays sur cette coupe du Monde à Cali
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Nicholas Kergozou de la Boessière, comment vous sentez vous à l’approche de cette Coupe du Monde ?
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Nicholas Kergozou de la Boessière: « Je me sens comme tous mes autres coéquipiers, vraiment motivé et on est sur une belle lancée pour cette première coupe du Monde de la saison. le Team sort de plusieurs succès sur les championnats d’Ocèanie le mois dernier et nous espérons que cette dynamique va continuer ici à Cali. «
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Vos objectifs sur cette Coupe du Monde?
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N.K: « Déjà la poursuite par équipe. On veut faire de notre mieux dès les premières qualifications pour nous assurer une place en finale et ensuite faire du mieux pour prendre la finale. Ensuite à titre personnelle, ce sera la poursuite individuelle. Pour moi, j’espère m’améliorer et donner tout ce que j’ai de meilleur pour atteindre la finale. »
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Kergozou de La Boessière, on vous prendrait presque pour un Français d’origine Bretonne
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N.K: « (Rires) Effectivement, j’ai des origines Bretonnes par mes ancêtres je crois. Mes grands parents étaient d’origine Française, ma grand-mère de Bretagne et mon grand père de Jersey. Mais je ne parle pas la langue de mes ancêtres, même si ma mère le parle toujours un peu. elle va mieux me l’enseigner car je rejoins la Bretagne bientôt, le pays où est basé le team Dynamo Cover. Un retour au source ! (rires). »